Gestion integree des ravageurs
La lutte intégrée est une technique de production agricole qui permet de réduire les résidus de pesticides dans les produits agricoles et par conséquent de réduire l'impact environnemental. Ceci est possible en gardant les insectes destructeurs à des niveaux qui n'affectent pas la production et la rentabilité.
Les instruments utilisées sont variées, mais la plus classique et la plus utile pour nos cultures est l'utilisation d'insectes antagonistes de ceux destructeurs, qui ne sont pas nuisibles pour nos plantes.
Le désir de continuer dans ce sens vient de la prise de conscience que la santé de chacun d'entre nous dépend aussi de l'environnement dans lequel nous vivons, et c'est pourquoi il est important de le préserver.
Notre chemin vers la production d'une
lantana à lutte antiparasitaire intégrée continue
sur des pistes de plus en plus stables.
Depuis 2010, nous avons consolidé notre
coopération avec la 
,
entreprise leader mondial dans les outils pour l'agriculture
biologique, dont les techniciens nous suivent régulièrement
pour identifier de temps en temps ce qui est la meilleure stratégie
à suivre.
Les parasites les plus communs et les plus dommageables, pour le lantana sont la mouche blanche Trialeurodes vaporarium, et l'araignée rouge, Tetranychus urticae. Les méthodes traditionnelles pour les éradiquer grâce à l'utilisation de pesticides, en plus d'être nocifs pour l'environnement, ne donnent plus des résultats satisfaisants. C'est parce que ces insectes ont déjà développé une résistance considérable aux traitements traditionnels, forçant toujours à la recherche de nouvelles substances et à l'augmentation de la quantité d'utilisation de la même. Utiliser la lutte antiparasitaire intégrée est donc presque une obligation, en exploitant une difficulté d’aujourd'hui pour en faire un atout pour l'avenir.
Grace à
nous avons identifié les insectes utiles à être utilisés,
le montant des lancements à effectuer et l'existence de techniques
parallèles très simples mais tout aussi efficaces, comme par
exemple, l'utilisation de bandes collantes jaunes qui attirent et piègent
la mouche blanche, une idée presque banale mais le résultat
est très appréciable.
La prochaine étape consistera à obtenir la
certification, mais nous sommes déjà fiers des résultats
obtenus avec notre travail.
Sonia Alberto
